Circuit des 4 Bois est un circuit de randonnée situé sur la commune de Bouvelinghem en Pas-de-Calais (62). Ce parcours d’environ 10 kilomètres représente en moyenne 2h30 de marche.
La note de ce sentier pédestre de randonnée s’élève à 5 sur 5 grâce à l’avis de 1 personne.
Site auteur de la fiche rando : Communauté de Communes du Pays de Lumbres -
Découvrez le patrimoine à proximité du sentier de randonnée Circuit des 4 Bois à Bouvelinghem (62)
Il existe 21 lieux remarquables à proximité de cette randonnée. Ces lieux peuvent être accessibles et visibles depuis le sentier ou bien être présents dans un rayon de 30km autour du tracé ou du point de départ.
Sites naturels / Parc Naturel Régional
PNR des Caps Marais d'Opale
Avant le VIIème siècle, le marais audomarois était décrit comme « une île entre des rivières et la mer. C’était une terre déserte et inculte, hérissée de forêts, noyée de marécages ». Abbé Deneuville.
C’est aux environs de l’an 630 que l’évêque de Thérouane et trois moines, Bertin, Momelin et Ebertram, conduisirent les premiers travaux d’aménagement.
Au IXème siècle, ils dérivent le cours de l’Aa depuis Arques jusqu’à l’abbaye pour y installer leurs moulins. Par la suite, les hommes vont chercher à maîtriser l’eau en procédant à l’assèchement des terres les plus basses. L’amélioration de l’évacuation des eaux permet au XIIIème siècle l’installation sur la rive Ouest des « brouckaillers » (maraîchers). Comme en Hollande, des canaux rectilignes sont tracés, ce qui conduit à la formation d’un paysage typique formé de bandes étroites de terres rehaussées (les lègres). Certains secteurs du marais sont clos par des digues. Le niveau de l’eau y est contrôlé au moyen de moulins de pompage (XVIIIème siècle). Voir le site
C’est aux environs de l’an 630 que l’évêque de Thérouane et trois moines, Bertin, Momelin et Ebertram, conduisirent les premiers travaux d’aménagement.
Au IXème siècle, ils dérivent le cours de l’Aa depuis Arques jusqu’à l’abbaye pour y installer leurs moulins. Par la suite, les hommes vont chercher à maîtriser l’eau en procédant à l’assèchement des terres les plus basses. L’amélioration de l’évacuation des eaux permet au XIIIème siècle l’installation sur la rive Ouest des « brouckaillers » (maraîchers). Comme en Hollande, des canaux rectilignes sont tracés, ce qui conduit à la formation d’un paysage typique formé de bandes étroites de terres rehaussées (les lègres). Certains secteurs du marais sont clos par des digues. Le niveau de l’eau y est contrôlé au moyen de moulins de pompage (XVIIIème siècle). Voir le site
Sites naturels / Réserves naturelles
Grotte et pelouses d'Acquin-Westbécourt
Au sud, la partie méridionale du promontoire crayeux au bout duquel serpente l’Aa, petit fleuve côtier. Au nord, les pelouses d’Acquin-Westbécourt marquent le revers occidental du plateau et des collines crayeuses de Quelmes-Boisdinghem. Elles constituent un espace aux pentes abruptes couvertes d’une mosaïque de pelouses où se mêlent genévriers et arbustes divers. Ces pelouses constituent d’ailleurs un complexe paysager remarquable, vestige des anciens parcours à moutons qui jalonnaient la plupart des versants crayeux de l’Artois et du Boulonnais.
Utilisé pendant plusieurs siècles pour de nombreux usages tels que le pâturage, des pratiques culturales et agro-pastorales ou encore l’exploitation de la craie utilisée pour la construction des églises du secteur…, cet ensemble de coteaux constitue un véritable joyau de biodiversité et un patrimoine naturel remarquable niché au nord de la France Voir le site
Utilisé pendant plusieurs siècles pour de nombreux usages tels que le pâturage, des pratiques culturales et agro-pastorales ou encore l’exploitation de la craie utilisée pour la construction des églises du secteur…, cet ensemble de coteaux constitue un véritable joyau de biodiversité et un patrimoine naturel remarquable niché au nord de la France Voir le site
Coteaux de Wavrans-sur-l'Aa
Au sud, la partie méridionale du promontoire crayeux au bout duquel serpente l’Aa, petit fleuve côtier. Au nord, les pelouses d’Acquin-Westbécourt marquent le revers occidental du plateau et des collines crayeuses de Quelmes-Boisdinghem. Elles constituent un espace aux pentes abruptes couvertes d’une mosaïque de pelouses où se mêlent genévriers et arbustes divers. Ces pelouses constituent d’ailleurs un complexe paysager remarquable, vestige des anciens parcours à moutons qui jalonnaient la plupart des versants crayeux de l’Artois et du Boulonnais.
Utilisé pendant plusieurs siècles pour de nombreux usages tels que le pâturage, des pratiques culturales et agro-pastorales ou encore l’exploitation de la craie utilisée pour la construction des églises du secteur…, cet ensemble de coteaux constitue un véritable joyau de biodiversité et un patrimoine naturel remarquable niché au nord de la France Voir le site
Utilisé pendant plusieurs siècles pour de nombreux usages tels que le pâturage, des pratiques culturales et agro-pastorales ou encore l’exploitation de la craie utilisée pour la construction des églises du secteur…, cet ensemble de coteaux constitue un véritable joyau de biodiversité et un patrimoine naturel remarquable niché au nord de la France Voir le site
Anciennes carrières de Cléty
Le site des anciennes carrières de Cléty constitue la première réserve naturelle régionale à vocation géologique. Le front de taille dévoile plusieurs centaines de milliers d’années de dépôt d’algues microscopiques qui se sont accumulées lorsqu’une vaste mer chaude recouvrait la région. A leur mort, leurs squelettes calcaires se déposèrent couche après couche sur le fond marin, formant la craie. Au moyen-âge, elle était utilisée pour la construction de monuments (église de Cléty, mairie-école…) ainsi que pour celle des maisons en « rouges-barres » (alternance de briques et de craie). Durant les XIXe et XXe siècles, le site a été exploité à ciel ouvert pour la production de chaux. Support de mémoire, le site est aussi un précieux support de vie. Voir le site
Lostebarne-Woohay
La réserve naturelle de Lostebarne-Woohay s’étend sur 40 hectares situés entre les collines du Pays de Licques et la plaine maritime flamande. Le territoire de la réserve naturelle, composé de prairies humides bocagères et de quelques zones boisées, est parcouru par un chevelu de cours d’eau dont le linéaire dépasse 3 500 mètres. De nombreuses sources ponctuent le site. Certaines sont directement alimentées par l’eau provenant de la nappe de la craie qui jaillit en surface grâce à des puits artésiens, appelés localement les "trous sans fond". D’autres sources, issues des sables landéniens, sont plus acides. Elles permettent le développement d’une végétation particulière. Ces eaux, de très bonne qualité, sont le milieu de vie d’une flore et d’une faune remarquables. Voir le site
Plateau des Landes
Le plateau des Landes forme un croissant d’environ 10 km de long, 1 à 2 km de large et environ 70 m d’altitude, séparant la vallée de l’Aa du bassin de la Lys. Le site comprend des landes herbeuses, des landes à bruyères et des landes boisées.
Près de 30 à 40 ha sont aujourd’hui restaurés et s’orientent vers une lande herbeuse.
Le site comprend également un important réseau de mares, d’étangs et de lande humide. Dans les petites dépressions humides, vous aurez peut-être la chance d’observer le Potamot à feuilles de renoués (protégé au niveau régional)…
Pont d'Ardres
Étangs du Romelaëre
Ancien site d’extraction de la tourbe, les étangs du Romelaëre forment un paysage d’étangs et de rivières reliés entre eux par des chenaux d’accès, autrefois empruntés par les maraîchers.
La réserve naturelle protège une centaine d’hectares de terre et d’eau. Une ambiance aquatique où étangs, watergang, roselières, prairies humides et bois tourbeux colorent le paysage. La diversité et la richesse de la faune sont connues depuis les années 1980 avec les nombreuses espèces d’oiseaux dont le héron cendré, le blongios nain, le butor étoilé ou le busard des roseaux. Voir le site
La réserve naturelle protège une centaine d’hectares de terre et d’eau. Une ambiance aquatique où étangs, watergang, roselières, prairies humides et bois tourbeux colorent le paysage. La diversité et la richesse de la faune sont connues depuis les années 1980 avec les nombreuses espèces d’oiseaux dont le héron cendré, le blongios nain, le butor étoilé ou le busard des roseaux. Voir le site
Molinet
La réserve naturelle du Molinet est constituée d’un ensemble de boisements et de prairies calcicoles sur lesquels l’ensemble des stades dynamiques sur sol calcaire est représenté. Ces conditions diversifiées confèrent à ce site de 6 hectares une faune et une flore variées, originales et pour plusieurs d’entre-elles, un intérêt patrimonial à l’échelle de la région. Voir le site
Prairies du Schoubrouck
Au nord-est de Saint-Omer, la réserve naturelle des prairies du Schoubrouck occupe 10 ha de prairies humides ainsi que leurs ceintures de fossés ("casiers" et "watergangs"). Ces milieux ont été préservés des dérangements habituels (drainage, plans d’eau, etc.) et le maintien d’une activité agricole extensive permet la présence d’habitats prairiaux originaux, abritant des espèces caractéristiques et parfois rares ou menacées. Voir le site
Forteresse de Mimoyecques
Ancien bunker de la Seconde Guerre mondiale destiné à abriter le canon V3 devant bombarder Londres, la forteresse de Mimoyecques abrite un important réseau de galeries sur plusieurs niveaux qui servent de lieu d’hibernation pour les chauves-souris.
Outre son statut de lieu de mémoire, Mimoyecques constitue un site remarquable pour le patrimoine naturel car il s’agit du principal site d’hibernation connu pour les chauves-souris dans le Nord - Pas-de-Calais. Onze espèces ont déjà été inventoriées dont le grand rhinolophe, le murin des marais et le murin à oreilles échancrées. Les effectifs totaux représentent 400 à 500 individus. Voir le site
Outre son statut de lieu de mémoire, Mimoyecques constitue un site remarquable pour le patrimoine naturel car il s’agit du principal site d’hibernation connu pour les chauves-souris dans le Nord - Pas-de-Calais. Onze espèces ont déjà été inventoriées dont le grand rhinolophe, le murin des marais et le murin à oreilles échancrées. Les effectifs totaux représentent 400 à 500 individus. Voir le site
Mont de Couple
Le site du Mont de Couple est localisé dans le Pas de Calais, à environ 3,5 km du littoral de la Mer du Nord. Il constitue avec les monts voisins : Mont d’Hubert et Mont de Sombre en particulier, la partie nord de la cuesta crayeuse du Boulonnais, dominant et enserrant la demi-boutonnière du même nom, et se prolongeant ensuite vers l’Artois.
Ce coteau calcaire s’étend sur une superficie d’un peu moins de 14 hectares sur le sommet du mont au nord du territoire communal d’Audembert. Sur les 9 habitats répertoriés sur le site — essentiellement des habitats de pelouses —, 3 habitats revêtent un intérêt patrimonial particulier. Mais le type de milieux présents au Mont de Couple est soumis à une dynamique naturelle typique des pelouses calcicoles qui consiste en la fermeture de ceux-ci par des stades successifs d’embroussaillement. Voir le site
Ce coteau calcaire s’étend sur une superficie d’un peu moins de 14 hectares sur le sommet du mont au nord du territoire communal d’Audembert. Sur les 9 habitats répertoriés sur le site — essentiellement des habitats de pelouses —, 3 habitats revêtent un intérêt patrimonial particulier. Mais le type de milieux présents au Mont de Couple est soumis à une dynamique naturelle typique des pelouses calcicoles qui consiste en la fermeture de ceux-ci par des stades successifs d’embroussaillement. Voir le site
Platier d'Oye
Enserrée par les agglomérations de Calais et de Dunkerque, la réserve naturelle du Platier d’Oye est la première zone d’alimentation sur la côte Manche/Mer du Nord rencontrée par les migrateurs en route pour leurs quartiers d’hiver. Issu du comblement de l’estuaire de l’Aa, qui remontait jusque Saint-Omer, le polder du platier (terrain plat) s’est formé relativement récemment et de manière quasi naturelle. Voir le site
Sites naturels / Pics et monts
Monts des Flandres
Les monts des Flandres (Westvlaams Heuvelland en néerlandais et Vlaemsche Bergen en flamand occidental) sont une série de collines se développant d'ouest en est de Watten (France) à Kemmel (Belgique). Ils forment dans une zone frontalière de petits reliefs dissymétriques (la pente est plus forte vers le sud que vers le nord) séparés par des vallées. Même s'ils se dressent, à leur plus haut, à moins de 160 mètres au-dessus de la plaine de Flandre, les monts des Flandres font figure de relief dans ce plat pays.
Photos Voir le site
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Sites naturels / Massifs forestiers
Forêt domaniale de Tournehem
Forêt d'Eperlecques
Forêt domaniale de Guînes
Forêt domaniale de Rihoult-Clairmarais
Forêt domaniale de Desvres
Forêt domaniale de Boulogne
Produits du terroir / Fromages
Le Sire de Créquy
Le Sire de Créquy est un fromage fermier au lait de vache cru et entier, à pâte molle et pressée, et à croûte lavée aux tons jaune orangé. Voir le site
Il existe d'autres sentiers de randonnée à Bouvelinghem (62) pour découvrir le terroir
Notre sélection de sentiers de randonnée à proximité de Bouvelinghem (62)
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